La communication santé est un pétri de la communication.
J’aurais aimé vivre les années sans régulations ou les médecins pouvaient recevoir des cadeaux. J’aurais aimé être médecin pour recevoir ces cadeaux ! Mais les relations ont évolués.
La communication promotionnelle n’a plus de sens aujourd’hui avec les NTIC. Un médecin, s’il en fait la démarche, est plus au fait d’une molécule d’un laboratoire que ses propres visiteurs médicaux. Et un patient, le sera plus encore que son médecin : après tout c’est sa pathologie...
71 % des patients font une recherche médicale sur internet. Les relations patients médecins changent nécessairement.
Dans ce contexte, la communication contextuelle est pertinente, car les conditions d’expositions des messages et des valeurs sont très précaires... Une approche comme le « propagation planning » aide à tracer l’écosystème relationnel du prescripteur directement et indirectement visé.
On en est plus à viser le bon contexte pour délivrer le message, mais créer le bon contexte, le bon environnement, pour délivrer le bénéfice de l’usage....
Et aussi redonner un libre choix à l'utilisateur, plus de possibilité d'action, avec de vrais relais expérienciels, et dans le bon contexte pour lui.
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